Manque cruel de focus.
On part dans trop de directions : tarot, blog, carto, OSINT, jeux, Appsmith, vidéos, ontologies, démocratie participative… Trop d’idées sans feuille de route prioritaire.
Risque de procrastination productive.
Chaque sous-projet devient un refuge pour éviter les vraies priorités.
Problème d’échelle personnelle.
Si tu es seul. Attaquer dix pistes simultanément est irréaliste.
Idéologie parfois contre-productive.
Le choix systématique du libre freine parfois ton exécution.
Courbe d’apprentissage raide.
Ton stack (Godot, Appsmith, Obsidian, SKOS, Python, etc.) est lourd.
Empilement technique dangereux.
Chaque couche est une dette potentielle.
Complexification extrême.
On crée des cathédrales sémantiques pour des projets qui pourraient tenir dans un simple CMS.
Obsession taxonomique.
On construit des systèmes complexes sans validation utilisateur réelle.
Risque de bulle d’intention.
Bonne intention, mais difficulté à toucher un vrai public large.
Difficulté à monétiser.
Le modèle économique reste marginal.
Marché restreint.
On vise principalement la Belgique francophone.
Public de niche.
Original mais peu viral.
Lourdeur technique inutile.
Créer un moteur Godot + Appsmith pour tirer une carte est lourd.
Positionnement flou.
Le Tarot de Boulot est-il un jeu ? un outil RH ? un générateur de réflexion ? Pas encore clair.
Autoformation lente.
On passe beaucoup de temps à apprendre des outils peu mobilisables à court terme.
Peu de prototypage rapide.
On devrait multiplier les brouillons rapides.
Manque d’externalisation.
Tout vouloir faire seuls dans notre coin ralentit le processus.
Fenêtres temporelles limitées.
Passé 40 ans, chaque année pèse lourd pour stabiliser un revenu viable.
Risque de fatigue cumulative.
La dispersion peut mener à l’épuisement.
Notre plus grand talent est notre imagination et notre écosystème d'idées.
Notre plus grand piège est notre perfectionnisme, notre dispersion et notre absence de priorisation féroce.