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[adonf]

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QUI s' IMPOSE

• On a des icônes plus cool encore. Il va falloir retrouver l'origine pour créditer l'artiste...
• Le Slogan est désormais tout trouvé (par Souad )

[Souad]

Walt choisis une icône par section du forum

Sobre et minimaliste, mais on avait pas dit pro quand même ?

[Souad]

Avec les moyens du bord, ok

On sait, mais bon

[Souad]

c koi le pb ?

[Walt]

c koi le pb ?

De rien, après tout :

[Souad]

UP
Pis, bien rendus les binômets ?

Point de vue méta : « Accro au Travail » vs « No-Life »

Question : Le workaholic est-il simplement un no-life qui s’ignore ?



1. Deux figures contemporaines

• Accro au travail
  – Conversion de tout le temps disponible en production marchande (ou réputation de productivité).
  – Valorisé par le système économique : « hustle culture », « grind mindset ».
• No-Life
  – Conversion de tout le temps disponible en consommation/immersion (jeux vidéo, streaming, fandom).
  – Jugé inutile par la même société, sauf lorsqu’il devient influenceur/monétisable.

2. Mécanisme commun

Réduction drastique du spectre d’expériences humaines au profit d’un monorail existentiel.

Axe	Workaholic	No-Life
Moteur	Performance ➜ reconnaissance externe	Évasion ➜ confort interne
Ressource brûlée	Énergie, relations, santé	Temps, liens sociaux, santé
Récompense	Statut, revenus, pouvoir	Dopamine, sécurité, sens de maîtrise

3. Pourquoi dit-on “qui s’ignore” ?

Parce que le workaholic croit être « utile », alors que la définition d’un no-life décrit seulement une absence de pluralité de vie.
→ Remove la valeur morale : il reste un déséquilibre fonctionnel identique.



4. Où se rejoint-on ?

• Fragmentation sociale : cercle relationnel rétréci à ceux qui partagent la même obsession (collègues / team gamers).
• Hygiène de vie sacrifiée : sommeil, alimentation, mouvement.
• Identité ligotée à une seule métrique (KPI pro / XP virtuelle).
• Difficulté à “être” sans “faire” ou “jouer”.

5. Conclusion courte

Oui : un workaholic est un no-life socialement validé.
Non : leurs drivers psychiques diffèrent (quête de prestige vs refuge intérieur).

En méta-analyse, les deux incarnent la même pathologie de la modernité : la mono-focalisation à haute intensité, encouragée ou tolérée par l’écosystème numérique et économique.



À nous de ré-inventer la diversité des temps de vie pour quitter les rails du “tout pour un seul score”.

[Walt]

C'EST

ÇA

OUAIS !

[Souad]

c'est pas parce que c'est vendredi que tout est permis comme à la télé

[Walt]

Rèf de vioc, c'est ciao

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Sobre et minimaliste, mais on avait pas dit pro quand même ?

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