🚀 Introduction

Ça va aller 🚧

🛠️ Récapitulatif des Options

Mais pourquoi ?

Bien vu — et tu as raison. “Mais pourquoi ?” est LA question qui évite de tourner en rond. Voici une réponse en 5 couches : du concret immédiat à la transformation sociale longue durée. Tu peux t’arrêter à la couche qui te suffit… ou descendre plus profond.

🤔 Pourquoi faire tout ça ?

1. Pour que tu puisses t’y retrouver dans le bazar numérique du quotidien.

Trop d’outils, trop de mots de passe, trop d’infos contradictoires. On t’aide à remettre de l’ordre, publier simplement, garder des traces, retrouver tes liens, vérifier une info. Quand la base est solide, tu respires et tu peux réfléchir.

2. Parce que comprendre donne du pouvoir.

Ceux qui savent lire les règles du jeu (plateformes, datas, algorithmes, médias) influencent ceux qui ne les voient pas. On te donne les clés pour ne pas dépendre uniquement de “ce qu’on te dit”, mais analyser, comparer, douter, décider. C’est la différence entre subir un flux et choisir ta trajectoire.

3. Parce que personne n’apprend seul — et l’éducation permanente mise tout sur l’entraide.

Dans ce modèle, chaque personne arrive avec son vécu, repart avec des outils, et laisse quelque chose pour les suivants. Ce n’est pas l’école classique : c’est une circulation de savoirs issus du terrain, des associations, des publics variés. Ton expérience compte autant que le “cours magistral”.

4. Parce que les crises s’empilent, et qu’on a besoin d’espaces pour réfléchir avant d’agir dans l’urgence.

Pandémie, climat, tensions sociales, accélération du temps… Le secteur de l’éducation permanente a alerté : si on ne garde pas des lieux pour prendre du recul, débattre, construire du sens commun, on finit à réagir au coup par coup. On espère créer un de ces espaces “temps long” réutilisable.

5. Parce qu’un citoyen qui comprend, documente et relie les points peut peser politiquement.

L’objectif final n’est pas juste “savoir faire un site” : c’est relier info, vécu, enjeux globaux (justice sociale, droits, écologie) et transformer ça en position collective, plaidoyer, action locale ou réseau d’entraide. C’est exactement la visée émancipatrice de l’éducation populaire et de la citoyenneté mondiale que tu peux explorer.

🔁 Le “Pourquoi” en cascade (exercice rapide)

Pourquoi créer un carnet ? Pour noter, classer, partager des infos utiles.

Pourquoi partager ? Pour éviter que chacun refasse le même boulot dans son coin.

Pourquoi éviter ça ? Parce que le temps et l’énergie sont limités, surtout dans les petites structures.

Pourquoi ça compte socialement ? Parce que quand les petites structures mutualisent, elles pèsent plus face aux gros acteurs.

Pourquoi c’est politique ? Parce que mieux informé = mieux outillé pour contester, proposer, voter, négocier.

🧭 Relier ton “Pourquoi” perso à un “Pourquoi” collectif

🧱 Ce qu’on essaie vraiment de construire

Un commun pédagogique et numérique : des contenus libres d’usage non-commercial, des méthodes reproductibles, des formats faciles à traduire ou adapter dans une asbl, une école de devoirs, un collectif de quartier… Tu prends, tu ajustes, tu redonnes. C’est ça le moteur.

✅ Si tu dois retenir une seule phrase

On fait tout ça pour que n’importe qui puisse comprendre le monde numérique, documenter ce qu’il vit, et s’en servir pour agir avec d’autres — pas demain, maintenant.

“Franchement, à quoi ça sert ?”

(Réponse courte : à te simplifier la vie – mais détaillons.)

“Je m’en passe très bien aujourd’hui, non ?”

• Comme la ceinture de sécurité : tu ne réalises son utilité qu’au premier freinage brutal.
• Comme une carte de bibliothèque : tant que tu restes devant Netflix, tu ignores qu’un savoir gratuit t’attend.
• Comme un vaccin numérique : mieux vaut l’avoir avant la prochaine vague de désinfo ou de phishing.

Pourquoi c’est offert (et non vendu) ?

• Logique d’éducation populaire : plus on partage, plus on monte en compétence collectivement .
• Licence anti‑commerciale : pas de pub cachée, pas de revente de données.
• Effet réseau : chaque petite contribution améliore l’outil pour tous (principe des communs).

🌱 Ouais fi·eu – l’idée, tout simplement

Ouais fi·eu, c’est un atelier ouvert : on y fabrique des outils pour mieux comprendre, partager et agir — quand on en a besoin.

Pas de baguette magique. Pas de grand soir numérique. Juste trois promesses réalistes :

1. Clarté – un vocabulaire décodé, des tutoriels courts, des exemples concrets.
2. Autonomie – des modèles de carnets, de fiches et de pages prêts à copier‑coller.
3. Partage – tout est réutilisable (licence non‑commerciale), chacun peut améliorer la version suivante.

À quoi ça sert — vraiment ?

Ce ne sont pas de grandes révolutions, mais ce sont des petits raccourcis qui, mis bout à bout, libèrent de l’énergie pour le reste.

Pourquoi ça compte, même en petit

1. Parce qu’un outil clair réduit la fatigue numérique. Moins d’énervement → plus de recul pour réfléchir.

2. Parce qu’un canevas partagé vaut mieux que 100 mails en PJ. Les associations, groupes de quartier ou classes gagnent du temps et de la cohérence.

3. Parce qu’un citoyen qui documente sa réalité devient audible. Une histoire bien présentée pèse plus dans un débat local que dix posts Facebook dispersés.

4. Parce que donner accès au “mode d’emploi” d’Internet, c’est un acte d’équité. Ceux qui ont déjà les codes n’en ont peut‑être pas besoin ; les autres, si.

Comment l’utiliser (sans engagement ni jargon)

1. Parcourir : Découvrir → 5 rubriques, pas plus.
2. Choisir : une fiche ou un kit téléchargeable, format .md ou .pdf.
3. Adapter : éditer ton propre exemplaire, changer les couleurs, signer de ton nom.
4. Partager : re‑mettre la version modifiée en ligne ou l’imprimer pour ton groupe. Fin de l’histoire : ce qui t’a servi servira à quelqu’un d’autre.

En un mot ?

Ce site, c’est la boîte à outils qu’on aurait aimé trouver avant de se dire « Ça a l’air compliqué, je laisse tomber ».

Ni plus, ni moins. Et si un jour tu en tires quelque chose d’inattendu — un projet, une mobilisation, un simple soulagement —, tant mieux : la porte est ouverte, la lumière reste allumée.